⌂ > Qui nous sommes > Développement durable > Parties prenantes ESG

Close The Gap: le partenaire de LCL pour plus d'impact social et écologique

Lire la vidéo

Pourquoi LCL aide à la dynamique de Close the Gap

Des partenariats durables et bien choisis cachent de puissants leviers d’action. C’est pourquoi LCL endosse le rôle d’ambassadeur de Close the Gap (mission : réduire la fracture numérique dans le monde) et Digital for Youth (mission : donner un accès sûr et rapide à un ordinateur à tous les enfants et jeunes en Belgique). En donnant une seconde vie à du matériel informatique d’entreprises, Close the Gap réduit en outre les quantités de déchets tout en augmentant les opportunités de personnes moins favorisées. LCL insuffle une belle dynamique au partenariat en partageant ce récit impactant avec ses propres parties prenantes.

Et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’impact est réel : depuis sa fondation en 2003, Close the Gap a aidé 4 millions de bénéficiaires dans le monde, au travers de plus de 7600 projets dans plus de 50 pays. Chaque année, l’asbl donne une seconde vie à 130 000 appareils collectés dans le monde entier. « C’est beaucoup, et trop peu en même temps », nuance le Managing Director Didier Appels depuis l’atelier Close the Gap de Malines. « Beaucoup, car cela fait de nous le leader du marché, mais aussi trop peu, si l’on considère les quantités de matériel TIC que les entreprises mettent chaque année hors service. Il reste un énorme potentiel que nous souhaitons exploiter en sensibilisant des entreprises et organisations à la possibilité d’aider son prochain et l’environnement avec leur ancien matériel TIC. » C’est tout l’objectif du partenariat avec LCL. Valérie Van Roy, Marketing & Communication Manager : « Nous regardons au-delà des limites de notre entreprise. Notre volonté est de créer un effet de levier en informant nos clients et fournisseurs à propos de l’existence et de l’utilité de Close the Gap. »

Il faut préciser que Close the Gap n’est pas à la recherche d’ordinateurs portables et autres appareils trop anciens et dont la date limite d’utilisation est dépassée depuis longtemps. « Notre objectif, avec les appareils collectés et remis en état, est d’avoir un impact social pour les utilisateurs finaux : des jeunes défavorisés en Belgique (Digital for Youth) ou des personnes dans des pays en développement (Close the Gap). En distribuant de très vieux ordinateurs non performants, nous ne ferions que déplacer le problème plutôt que d’amener une réelle solution. »

« En donnant une seconde vie au matériel TIC, nous créons un réel impact écologique et social. Avec Close the Gap et Digital for Youth, nous aidons des jeunes démunis à se bâtir un avenir meilleur. Nous sommes heureux de voir que LCL souhaite aider à faire la différence, et de compter l’entreprise de centres de données parmi nos partenaires donateurs et ambassadeurs. »

Didier Appels — Cofondateur et Managing Director de Close the Gap

Une garantie d’effacement des données

Close the Gap se tourne par conséquent en priorité vers des entreprises, organisations et entités gouvernementales pour trouver des partenaires donateurs. « Les appareils dont beaucoup d’organisations se débarrassent sont souvent en bon état, et assez récents. Il s’agit aussi principalement du même type d’appareils de grandes marques, ce qui nous permet d’accumuler la bonne expertise pour être en mesure de réparer les petits problèmes. Pour ces entreprises, nous sommes une solution tout-en-un pour tout le matériel informatique, car outre les ordinateurs portables, nous reprenons aussi des ordinateurs de bureau, des imprimantes, des tablettes, des écrans, des smartphones et des serveurs dont nous avons besoin pour nos projets. Autre atout majeur pour les entreprises partenaires : nous disposons d’un logiciel spécial pour effacer toutes les données, avec attestation pour chaque appareil, afin de prouver que les anciennes données sont effectivement inutilisables par des tiers. »

La plus grosse partie des appareils collectés sont entièrement remis en état et reçoivent ainsi une seconde vie. Les éléments que Close the Gap ne peut pas réutiliser pour ses propres projets sont confiés à un négociant ou recyclés. « Cela représente une partie de nos revenus en tant qu’asbl, l’autre partie venant des ventes liées à nos projets, même si l’ensemble se fait bien en-deçà des prix du marché. Par exemple, si la valeur d’un ordinateur portable de quatre ans remis en état est estimée à 400 euros, nous proposons l’appareil à 120 euros via nos projets. Notre devise est de proposer des appareils combinant qualité et faibles coûts. Et donc pas d’appareils gratuits. L’expérience a montré que cela favorise aussi le développement durable : quand on paye pour quelque chose, on en prend davantage soin et on l’utilise plus longtemps. »

Alimenter l’espoir

Une des grandes responsabilités de Close the Gap vis-à-vis des partenaires donateurs est d’apporter la garantie que le matériel arrive à destination, c’est-à-dire là où il aura un impact. « Au moindre doute, nous réagissons pour faire le nécessaire. Nous publions aussi chaque année un rapport d’impact à propos de nos projets. À l’origine, Close the Gap se concentrait sur la réduction de la fracture numérique entre le nord et le sud. La création de Digital for Youth (par Close the Gap et DNS Belgium) a amené des projets supplémentaires à l’échelle belge, qui ont été sélectionnés par la Fondation Roi Baudouin. »

Le fait de voir les critères ESG de plus en plus haut dans l’agenda d’un nombre croissant d’entreprises alimente l’espoir de Didier Appels : « Les entreprises désireuses de travailler sur les aspects environnementaux (‘E’) ou sociaux (‘S’), ou les deux en même temps, peuvent se tourner vers nous. Dans ce contexte, avoir un ambassadeur comme LCL est un réel plus. Ensemble, nous pouvons présenter un solide récit à leurs collaborateurs et autres parties prenantes, dans lequel la planète et la société sont au centre des attentions. »