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« Les efforts en termes d’ESG de LCL sont une nécessité pour Lumen »

Le tout premier rapport de développement durable de LCL représente aussi une indéniable valeur ajoutée pour un fidèle client : Lumen Technologies. Thomas Moran, Lead Technology Strategist EMEA : « Cela nous aide à entamer un dialogue avec nos clients pour qui les critères ESG revêtent une importance croissante. Et ce n’est plus une simple réflexion de relations publiques qui les motive, loin de là. »

LCL bâtit des relations à long terme avec ses clients. C’est bénéfique pour les deux parties : ça nous aide à acquérir de meilleures connaissances à propos (du secteur) de notre client, ce qui aide à son tour notre client, car la collaboration gagne en expertise et en efficacité. C’est d’ailleurs ce qui attire Lumen Technologies chez LCL : « Le choix de Lumen de collaborer avec LCL est fondé sur la combinaison de la réputation de LCL (c’est-à-dire : obtenir des résultats constants) et des exigences de nos clients. Ce sont d’ailleurs nos clients (des organes gouvernementaux aux fabricants industriels jusqu’aux entreprises informatiques) qui déterminent vers quelle entreprise de centres de données ils veulent se tourner, mais c’est notre responsabilité de les diriger vers les meilleurs partenaires possibles. Notre histoire commune avec LCL n’a fait que renforcer la confiance mutuelle, ce qui fait que nous n’hésitons pas à recommander l’entreprise à nos clients. »

Plus qu’un ‘accessoire souhaitable’

Les efforts stratégiques fournis par LCL en matière de développement durable sont applaudis. « Surtout parce que nous avons la conviction que les critères ESG sont une condition sine qua non dans toute relation professionnelle. Cela va donc au-delà d’applaudissements entendus : c’est une exigence de notre part. Les critères ESG ne sont plus un ‘accessoire souhaitable’. Par le passé, les demandes et attentes de nos clients étaient assez généralistes, mais ils arrivent maintenant avec des conditions très spécifiques. Nous recevons de plus en plus de demandes visant à repenser et redéfinir des activités, pour ensuite mettre en avant des solutions dans lesquelles la durabilité est intégrée de manière structurelle. Si nous voulons démontrer dans les détails comment Lumen propose une durabilité maximale, nous sommes inévitablement obligés d’impliquer LCL, car l’entreprise de centres de données fait partie de notre chaîne logistique. »

« Le rapport de développement durable de LCL nous aide à alimenter le dialogue avec nos clients. Sachant que les questions reçues par Lumen sont de plus en plus poussées et exigent des réponses toujours plus détaillées, nous devons sans doute aussi évoluer pour passer d’un simple échange d’informations à une collaboration plus approfondie. »

« S’il y a bien un secteur qui mérite un ‘permis de grandir’, c’est le nôtre. Nous sommes en mesure d’amener une réduction de l’empreinte carbone de nos clients supérieure à ce que cela nous coûte en énergie supplémentaire. »

Thomas Moran — Lead Technology Strategist EMEA chez Lumen Technologies

La durabilité est rentable

Pour Thomas Moran, la croyance selon laquelle la durabilité coûte de l’argent est une très mauvaise interprétation. Dans la pratique, elle fait plus souvent baisser qu’augmenter les coûts. « Certes, le développement durable implique des investissements. Mais la seule vraie question est celle-ci : Dans quels délais comptez-vous sur une rentabilisation ? Que ce soit pour réduire les coûts énergétiques ou apporter des adaptations structurelles à un centre de données, il s’agit parfois de gros investissements qui ne seront rentabilisés qu’à moyen terme. Mais vous pouvez avoir la certitude qu’ils seront rentabilisés. » Thomas Moran émet néanmoins une petite objection : « Il est important de poser des choix stratégiques à long terme, en évitant les investissements hâtifs dans un seul but de relations publiques. De mauvaises décisions avec une vision à court terme ont mis nombre d’entreprises en fâcheuse posture. Aux États-Unis et au Royaume-Uni en particulier, les entreprises sont mises face à leurs responsabilités pour leurs pratiques de greenwashing, et forcées d’adapter ces pratiques, ainsi que leur manière de communiquer sur le sujet. »

Les opportunités ESG

Lumen publie un rapport annuel de développement durable depuis plus d’une décennie. « Nous étions parmi les premières entreprises à s’engager avec des objectifs fondés sur la science afin de réduire nos émissions de CO2. Nous fournissons depuis de nombreuses années nos rapports au projet CDP (une organisation mondiale à but non lucratif avec le plus vaste ensemble de données relatives aux efforts durables fournis par des entreprises, villes, pays, etc., en fonction de l’environnement) et nous déployons de nombreux efforts, détaillés dans notre rapport ESG. »

La reconnaissance pour ces efforts ne se fait pas attendre : Lumen a accumulé les récompenses dans les domaines de la durabilité, de la diversité sur le lieu de travail, du travail flexible, de l’égalité des genres… « Nous prenons notre rôle social (le ‘S’ d’ESG) très au sérieux. En termes de gouvernance (le ‘G’) aussi, nous obtenons d’excellents résultats : la durabilité fait intrinsèquement partie de notre stratégie et est suivie de très près par le conseil d’administration. Pour nous, les critères ESG sont bien plus qu’une petite liste d’obligations. Nous envisageons la chose de manière plus large afin de voir comment notre approche ESG peut nous donner des opportunités pour encore mieux mener nos activités. »

Le droit de grandir

Thomas Moran envisage l’intensité énergétique du secteur numérique avec un point de vue très différent : « Le secteur des TIC, bien plus encore que d’autres acteurs avec qui les entreprises collaborent dans une chaîne logistique, a les leviers à disposition pour travailler de manière plus durable. La durabilité est d’ailleurs fondamentalement un problème de données. Pour rendre une activité plus durable, il faut commencer par adopter une pensée systémique (une approche scientifique qui essaye de conserver une vue d’ensemble plutôt que de se concentrer sur les éléments indépendants), comparable à l’approche utilisée pour développer une infrastructure IT. Voilà pourquoi les acteurs du monde informatique comme Lumen sont idéalement placés pour accompagner les entreprises dans ce contexte. Oui, comme les centres de données, nous consommons de l’énergie, mais nous sommes en mesure d’amener une réduction de l’empreinte carbone de nos clients supérieure à l’augmentation que cela implique de notre côté. À l’arrivée, cela donne une impact positif, et la raison pour laquelle je trouve que s’il y a bien un secteur qui mérite un ‘permis de grandir’, c’est le nôtre. Tant que cette croissance est responsable, notre impact est des plus bénéfiques. »

Lumen guide les entreprises vers la lumière

Lumen permet à de grandes et moyennes entreprises partout dans le monde d’exploiter les données afin de transformer leurs propres activités. La multinationale fait cela dans quatre domaines :

  • Lumen possède l’un des plus grands réseaux au monde, et le met à disposition des clients
  • Edge computing et cloud computing (informatique de périphérie et en nuage)
  • Protection
  • Communication universelle (Unified Communications & Collaboration, UC&C)