Les partenaires sportifs de LCL sont sensibles au développment durable
La Maman Borlée a inculqué le respect de Mère Nature à ses fils
Les petits gestes donnent parfois naissance à un profond respect. Jonathan et Kevin Borlée ont développé un respect pour la nature dès leur plus jeune âge. Jonathan : « Maman insistait tout le temps sur le fait que nous étions redevables à la nature. Qu’on devait recycler. Et prendre le vélo. À mes yeux, cette attitude est très importante, et cela se reflète dans mon quotidien : j’amène mes deux enfants à vélo à l’école, j’utilise des bouteilles recyclables plutôt que du PET jetable, j’évite de gaspiller et je suis très attentif au recyclage… Je veux aussi transmettre ce que j’ai appris à la maison. Ce n’est pas une question de tradition, c’est tout simplement essentiel. La Terre a eu besoin de millions d’années pour créer les ressources que nous consommons maintenant à un rythme effréné. Si nous voulons transmettre notre planète dans un bon état, il faut modifier nos comportements. Nous vivons dans un monde de confort, et les gens ne veulent pas y renoncer. Ça me perturbe. Mais attention, je ne pointe personne du doigt, et je ne juge personne. Je constate simplement qu’il est difficile de changer de cap. Moi aussi, je rencontre des obstacles et limites : pour nos compétitions, il nous arrive de devoir prendre l’avion. Nous veillons néanmoins à ne pas voyager inutilement, et une fois sur place, nous retirons toujours le maximum de notre séjour. »
« La Terre a eu besoin de millions d’années pour créer les ressources que nous consommons maintenant à un rythme effréné. Si nous voulons transmettre notre planète dans un bon état, il faut modifier nos comportements. Nous apprécions l’engagement de LCL pour devenir un centre de données plus durable. »
Kevin en Jonathan Borlée — Athlètes belges
« J’essaye aussi de réduire au maximum mon empreinte écologique, même si je pense que les vraies solutions et évolutions ne seront possibles que si nous agissons toutes et tous en équipe, pour prendre des initiatives ensemble. Si deux personnes s’engagent mais que le reste ne suit pas, ça ne fera pas bouger les lignes. Oui, j’aimerais rouler à l’électrique, par exemple, mais il n’y a pas de bornes de recharge près de chez nous. On nous demande de changer (et c’est nécessaire), mais j’ai le sentiment qu’il n’y a pas de vision à long terme avec une alternative pour notre manière de vivre. »
« J’ai deux enfants. Si nous voulons transmettre notre planète dans un bon état, il faut modifier nos comportements. » Jonathan Borlée — Athlète et ambassadeur LCL
Montrer l’exemple
Kevin Borlée privilégie aussi le vélo à la voiture pour les courtes distances, il préfère enfiler un gros pull plutôt que d’augmenter le thermostat, et il a installé des multiprises spéciaux pour éteindre tous les appareils électriques pendant la nuit. « On fait attention aux moindres petites choses. Ce qui me travaille le plus, c’est la surconsommation. Nous devons prendre un peu de recul, produire de manière responsable et consommer raisonnablement. Je ne dis pas ‘Arrêtez de manger des animaux’, mais je ne me réjouis pas de voir de la viande venue d’Amérique du Sud dans les frigos de notre supermarché local. Nous ne réalisons pas assez bien l’origine des produits, l’identité des fabricants, et l’impact que l’ensemble a sur notre environnement. Il y a peu, j’ai discuté avec un chef qui travaille sciemment avec des produits locaux : il choisit par exemple un jeune veau chez un fermier local, et l’animal est abattu trois ans plus tard pour être utilisé entièrement, vraiment entièrement ! J’aime ce genre d’initiatives. »
« La réflexion est la même pour les vêtements. Bien sûr, j’aime bien m’habiller, mais je fais attention à ce que j’achète, et où je l’achète. Ma sœur Olivia fabrique des vêtements durables (Unrun) avec Élodie Ouédraogo, et elles intègrent du plastique recyclé dans leurs créations. La production ne se fait pas non plus dans des pays lointains avec des bas salaires, mais chez mon beau-père en Tunisie, où l’on veille au bien-être des employés. »
L’engagement social des frères Borlée est grand. Ils utilisent bénévolement leur nom et leur célébrité pour soutenir des bonnes causes, comme KickCancer qui finance la recherche contre les cancers d’enfants et veut ‘dégager la maladie’, ou encore une initiative de soutien à des orphelins au Népal. Une rencontre fortuite des frères lors d’un vol vers l’Afrique du Sud est un exemple typique de leur philosophie : ils ont fait connaissance avec un homme qui installait des lampes à l’énergie solaire pour remplacer les lampes à l’huile aux fortes odeurs et mauvaises pour la santé dans des quartiers très pauvres (les townships sud-africains). « On a pris un jour de congé pour aller l’aider à installer ces lampes. »
En tant que personnalités connues, les frères pourraient peut-être faire entendre leur voix et plaider pour davantage de durabilité, mais tout comme son frère Jonathan, Kevin préfère endosser un rôle humble : « Nous essayons de faire ce qu’il faut, et si ça peut être une source d’inspiration pour autrui, tant mieux. Notre souhait est de montrer l’exemple. »
À propos du partenariat avec LCL
« Pour nous, le caractère authentique est très important », déclarent Jonathan et Kevin Borlée. « Nous ne nous engageons pas dans des partenariats avec n’importe qui ou n’importe quoi. Il nous arrive de décliner des collaborations. Nous sommes une famille soudée, et nous discutons de ce genre de choses en groupe, avec les trois frères et notre sœur. Nous apprécions l’engagement de LCL pour devenir un centre de données plus durable. Et bien sûr, cela représente pour nous aussi un apport apprécié qui nous permet de nous entourer des meilleurs physiothérapeutes, compter sur les meilleurs médecins… Tout cela a un coût, mais c’est indispensable si nous voulons atteindre des performances extraordinaires. »